Autour du thème : « Cohésion et association des organes de gestion administrative des Zones économiques d’Afrique, au service de la performance économique du continent », les participants ont tablé sur les solutions au fonctionnement optimal des zones économiques. Les travaux organisés par l’Autorité administrative ZERP de Nkok avait un objectif : l’industrialisation durable de l’Afrique.
La rencontre de Libreville a également permis de vulgariser les bonnes pratiques de la zone économique spéciale du Gabon (GSEZ) comme modèle pouvant inspirer plusieurs nations africaines voire du monde. D’où la présence remarquée des pays comme le Congo Brazzaville, la Côte d’Ivoire, le Ghana, la Guinée-Conakry, la Guinée équatoriale, le Mali, la Mauritanie, la RDC, le Sénégal, le Togo, le Tchad et la Turquie.
Les travaux présidés par le ministre du Développement industriel, Blaise Louembé, représentant le Premier ministre gabonais, se sont soldés par la signature d’un protocole d’accord pour favoriser les interactions entre les différentes structures intervenant dans la gestion des zones économiques spéciales, l’harmonisation stratégique et la coordination entre les différents niveaux de gouvernance de ces leviers de développement.